20th Century boys est le premier chapitre d’une trilogie adaptée d’un manga de Naoki Urasawa débuté en 1999 et terminé en 2007. Malgré de nombreuses sollicitations dues au succès de sa série, le mangaka a attendu d’avoir terminé son histoire avant d’en céder les droits d’adaptation, contrairement à ce qui se fait habituellement en pareil cas dans ce milieu. Autre particularité, les producteurs ont décidé de réaliser directement une trilogie et non d’attendre l’éventuel succès d’un premier film pour envisager des suites. L’histoire se déroulant sur plusieurs époques et progressant par d’incessants flashbacks, dont une bonne partie remontant à l’enfance des personnages, cette décision a permis de filmer toutes les scènes avec les enfants d’une traite, ce qui est toujours un avantage étant donné la vitesse à laquelle les enfants grandissent.
Ne connaissant pas du tout le manga, je ne peux juger que le film en lui-même, et malgré un petit côté téléfilm, il se laisse suivre sans ennui. Les acteurs font corps avec leurs personnages, les enfants sont très naturels, l’histoire est suffisamment intrigante pour maintenir l’intérêt tout le long des 2h20 que dure le métrage. D’ailleurs ces flashbacks vers l’enfance alors que leurs versions adultes s’apprêtent à affronter une catastrophe n’est pas sans rappeler « It » (« Ca » en livre, « ‘Il’ est revenu » à la télé) de Stephen King. On a vu pire comme référence. Cette histoire de secte maléfique qui cherche à prendre le pouvoir en répandant des agents biologiques doit de plus avoir une résonnance particulière au Japon.
Un premier épisode prometteur, vivement la suite !
Ne connaissant pas du tout le manga, je ne peux juger que le film en lui-même, et malgré un petit côté téléfilm, il se laisse suivre sans ennui. Les acteurs font corps avec leurs personnages, les enfants sont très naturels, l’histoire est suffisamment intrigante pour maintenir l’intérêt tout le long des 2h20 que dure le métrage. D’ailleurs ces flashbacks vers l’enfance alors que leurs versions adultes s’apprêtent à affronter une catastrophe n’est pas sans rappeler « It » (« Ca » en livre, « ‘Il’ est revenu » à la télé) de Stephen King. On a vu pire comme référence. Cette histoire de secte maléfique qui cherche à prendre le pouvoir en répandant des agents biologiques doit de plus avoir une résonnance particulière au Japon.
Un premier épisode prometteur, vivement la suite !
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